Né le 27 juin 1976, Michaël Mambole montre un penchant pour la musique dès son plus jeune âge, mais il commence réellement sa formation à 14 ans avec l'apprentissage du solfège et de la guitare classique.

Il complète cet enseignement et celui de ses 4 ans d'université par une évolution en guitare électrique et sur d'autres instruments comme le piano, la basse et la batterie.

Malgré une forte inclinaison pour le piano et une pratique importante de la basse électrique, c'est la guitare qui demeure son instrument de prédilection.

C'est cependant majoritairement en tant que bassiste qu'il est sollicité par des groupes de divers styles (rock, variété, blues, jazz, bigband...)


La découverte de l'outil informatique pour des applications musicales, va complètement changer ses perspectives en matière de composition.

Il se lance dans l'apprentissage du MIDI et des séquenceurs, ainsi que les principes de l'audio-numérique.

A la fin des années 90, l'apparition des instruments virtuels va lui ouvrir les portes d'un nouvel univers.

En plus de la musique, il élargit, au fil du temps ses connaissances et activité au domaine de l'ingénierie du son, d'abord en sonorisation, puis en enregistrement.

Ses stages en studio lui permettront d'acquérir un début d'expérience en montage et en mixage audio-numérique.


Même avant de travailler sur des images, le design sonore faisait déjà partie de ses expérimentations.

La manipulation d'échantillons sonores pour créer ou modifier des instruments samplés, l'a guidé vers la recherche de nouvelles sonorités, lui faisant ainsi découvrir les techniques modernes de synthèse et de transformation.

Son amour du cinéma le conduit rapidement à s'intéresser au design sonore dans les films.


 

C'est en 2000 qu'il fait la connaissance de Raphaël Hattab qui lui demande de composer de la musique pour son projet de court métrage : Elle était une fois avec Pierre Hatet, et d'en réaliser le montage son ainsi que le design sonore. Le film entier ne sera jamais achevé mais il reste de cette expérience une bande annonce entièrement post-produite.

 

 

 

En 2004 Raphaël Hattab fait une fois de plus appel à ses services pour son nouveau projet : Moi et le faux père noël, un court métrage avec Serge Merlin. Cette fois le film est achevé, et Michaël Mambole signe donc sa première bande son en collaboration avec Wilfried Kufferath pour les thèmes. Parallèlement il développe une activité dans la pub et l'institutionnel.

 

 

 

C'est Raphaël Hattab qui en 2006 recommande Michaël Mambole à Emmanuel Sapolsky. Ce dernier travaille alors sur les vidéos qui font partie du spectacle d'Anthony Kavanagh : Les démons de l'arkange, et recherche quelqu'un pour l'habillage sonore.

 

 

 

Satisfait de cette collaboration, Emmanuel Sapolsky décide, dans la foulée, de lui proposer d'habiller un petit court métrage dont il vient de débuter la post-production : Translucide, avec Alexandra Filliez. Il sonorise donc entièrement le film. Ensuite Emmanuel Sapolsky fait appel au compositeur pour plusieurs de ses pubs et institutionnels. Il semble alors que ce soit le début d'une relation de long terme comme avec Raphaël Hattab.

 

2008, Emmanuel Sapolsky décroche un contrat avec La parisienne d'image pour la réalisation d'un long métrage pour Canal +. Il s'agit de La fille au fond du verre à saké. Il parvient à imposer Michaël Mambole en tant que compositeur sur le projet.