C'est en 2000 qu'il fait la connaissance de Raphaël Hattab qui lui demande de composer de la musique pour son projet de court métrage : Elle était une fois avec Pierre Hatet, et d'en réaliser le montage son ainsi que le design sonore. Le film entier ne sera jamais achevé mais il reste de cette expérience une bande annonce entièrement post-produite.
En 2004 Raphaël Hattab fait une fois de plus appel à ses services pour son nouveau projet : Moi et le faux père noël, un court métrage avec Serge Merlin. Cette fois le film est achevé, et Michaël Mambole signe donc sa première bande son en collaboration avec Wilfried Kufferath pour les thèmes. Parallèlement il développe une activité dans la pub et l'institutionnel.
C'est Raphaël Hattab qui en 2006 recommande Michaël Mambole à Emmanuel Sapolsky. Ce dernier travaille alors sur les vidéos qui font partie du spectacle d'Anthony Kavanagh : Les démons de l'arkange, et recherche quelqu'un pour l'habillage sonore.
Satisfait de cette collaboration, Emmanuel Sapolsky décide, dans la foulée, de lui proposer d'habiller un petit court métrage dont il vient de débuter la post-production : Translucide, avec Alexandra Filliez. Il sonorise donc entièrement le film. Ensuite Emmanuel Sapolsky fait appel au compositeur pour plusieurs de ses pubs et institutionnels. Il semble alors que ce soit le début d'une relation de long terme comme avec Raphaël Hattab.
2008, Emmanuel Sapolsky décroche un contrat avec La parisienne d'image pour la réalisation d'un long métrage pour Canal +. Il s'agit de La fille au fond du verre à saké. Il parvient à imposer Michaël Mambole en tant que compositeur sur le projet.
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